Les avez-vous remarquées ? De la rue au Char, on prête simplement attention à la forme générale du monument. Approchez, osez monter les marches branlantes du perron. Les jardinières posées en travers de l'escalier vous arrêtent ? Enjambez-les. Parvenu au pied du portail, vous vous rendrez compte que l'église grouille de personnages inquiétants.
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Ce monstre ailé se cache dans les ébrasements du portail (cliquez sur l'image pour l'agrandir) |
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Un lion se glisse entre les colonnettes |
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Un jeune homme s'extirpe de la dentelle de pierre |
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Cet animal a la tête d'un chien mais les os qui saillent de sa colonne vertébrale invitent à s'en méfier. |
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Un corbeau picore une grappe de raisin |
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Une créature balourde s'apprête à bondir sur les passants |
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L'usure de la pierre donne un aspect encore plus effrayant aux monstres. |
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Ce lion nous fixe bizarrement |
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Une bête apparemment plus sympathique mais sortie de l'imagination du sculpteur |
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Vous voyez bien la même chose que moi ? Bien monté, non ? |
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Les sculpteurs ne craignent pas la vulgarité. Attention visiteurs : chute fécale possible ! |
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Nu, ce couple enlacé est probablement la sculpture la plus discrète. Sur une église, on le comprend. |
Bonjour ! Sauriez-vous par hasard qui est l'auteur des vitraux mis en place après la seconde guerre mondiale, à l'église Saint-Jacques de Lisieux ?
RépondreSupprimerLes deux grandes verrières, celles des façades occidentale et orientale, sont signées Max Ingrand. Et c'est probablement l'atelier de Max Ingrand qui a fait les verrières des façades nord et sud.
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